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paroles:tulaviok

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Paroles

Tulaviok

Skin ou Keupon

Skin ou keupon Ecoute nos chansons Nous on chante des chansons d'cul C'est comme ça, c'est voulu

Skin ou keupon Ne sois pas con Ne te trompe pas d'ennemi Ton seul ennemi C'est les képis

Beur ou melon Ecoute nos chansons Nos chansons sont à boire C'est comme ça tous les soirs

Beur ou meulon Ne sois pas con Ne te trompe pas d'ennemi Ton seul ennemi C'est les képis

Que tu sois brun ou blond Quelle importance ? Couleur peau blanche ou marron Quelle importance Que tu dises oui ou non Quelle importance Que tu aies tort ou raison Quelle importance?

Skin ou keupon Ecoute nos chansons Mort aux cons Et à la connerie Merde à tous les abrutis

Skin ou keupon Ne sois pas con Ne te trompe pas d'ennemi Ton seul ennemi C'est les képis

Quelle importance Skin ou keupon Quelle importance Skin ou keupon Quelle importance Ne te trompe pas d'ennemi Ton seul ennemi c'est les képis !

Adieu Fais Toi Putain

Tu vas quitter ta bonne mère Pour t’en aller dans un boxon Je ne te retiens pas ma chère Si c’est là ta vocation

Suis bien les conseils de ta mère Car avant toi, c’était son métier Je n’ai jamais été ton père Mais c’était peut être tout l’quartier

Alors adieu ! Fais toi putain ! Va t’en gagner ton pain ! Adieu ! Ma fille adieu ! A la Grâce, celle de Dieu !

Evite surtout la vérole Les morpions et les cancrelats Ne crois jamais sur parole Le fouteur qui te baisera

Regarde bien si dans son froc Se cache un vit bien entretenu Découvre toujours la calotte Avant de lui prêter ton cul !

Adieu ! Fais toi putain Va t’en gagner ton pain ! Adieu ! Ma fille adieu A la Grâce, celle de Dieu !

Adieu ! Fais toi putain Adieu ! A la Grâce, celle de Dieu !

Caroline

Mes amis, qu’on apporte à boire Quelques bouteilles de bon vin Je vais vous raconter l’histoire De Caroline la putain

Son père était machiniste Au grand théâtre de l’Odéon Sa mère était fleuriste Et vendait sa fleur en bouton Elle perdit son pucelage Le jour d’sa première communion Avec un garçon d’son âge Quel manque d’éducation

Salope ! Caroline ! Caroline ! Caroline !

A quatorze ans suçant des pines Elle fit son éducation A dix sept ans, dans la déprime Elle s’engagea dans un boxon A vingt cinq ans, sur ma parole C’était une fière putain Elle avait filé la vérole Aux trois quarts du quartier Latin

Putain ! Caroline ! Caroline ! Caroline

Ah, quelle putain ! Mais qui ? Caroline

Sur le tard, dans la tourmente Dans un boxon d’Barbizon Elle mourut la pine au ventre Le couvre lit jusqu’au menton Et quand on la mis en bière Toutes les putes de la région Vinrent saluer de belle manière Le plus beau des jolis cons

Quelle pute !

Ah, quelle putain !

De Profondis

O Muse prête moi ta lyre Afin qu'en vers je délire Sur le combat le plus fameux Qui se déroula sous mes yeux

Dans un vagin de forte taille Six cent mille poux livraient bataille A nombre égal de morpions Qui défendaient l'entrée du con

De Profundis Morpionibus !

La bataille fut gigantesque Tous les morpions périrent ou presque A l'exception des plus trappus Qui s'accrochaient aux poils du cul

Le commandant d'une escouade Voyant périr ses camarades Cria “Morpions, nous sommes foutus !” Creusons des charges au trou du cul !

De Profundis Morpionibus !

Un morpion motocycliste Prenant le cul pour une piste Alla prévenir l'état major Que le capitaine était mort

Alors des tas de morpionnes Lui tressèrent une couronne Avec des poils du cul, du con Où on lisait cette inscription

De Profundis ! Morpionibus !

Les Anarchistes (Leo Ferré)

Y en a pas un sur cent, et pourtant ils existent La plupart espagnols, allez savoir pourquoi Faut croire qu’en Espagne, on ne les comprend pas Les anarchistes

Ils ont tout ramassé, des beignes et des pavés Ils ont gueulé si fort, qu’ils peuvent gueuler encore Ils ont le cœur devant et leur rêves au mitan Et une âme toute rongée par de foutues idées

Y en a pas un sur cent, et pourtant ils existent La plupart fils de rien, ou bien fils de si peu On ne les voit jamais que lorsqu’on a peur d’eux Les anarchistes

Ils sont morts cent dix fois, pour que dalle, pour quoi Avec l’amour au poing, sur la table, sur rien Avec l’air entêté, qui fait le sang versé Ils ont frappé si fort, qu’ils peuvent frapper encore

Y en a pas un sur cent, et pourtant ils existent Et s’il faut recommencer par des coups d’pieds au cul Faudrait pas oublier qu’ca descend dans la rue Les anarchistes

Ils ont un drapeau noir En berne sur l'espoir Et la mélancolie pour traîner dans la vie Des couteaux pour trancher le pain de l’amitié Et des armes rouillées pour ne pas oublier

Y en a pas un sur cent, et pourtant ils existent Et qu'ils se tiennent bien bras dessus, bras dessous Joyeux et c’est pour ça qu’ils sont toujours debout, debout ! Les anarchistes

Sac à gnôle

A boire !

Commençons par grand-père Son foie traînait par terre Tant qu'il m'était d'dans La cirrhose à pépé Fallait pas en parler Schlingo c'est dégoûtant Et y a la grand-mère Qu'avait pour visière Un tarin couleur sang Rouge bien placé Prêt à péter; Because le vin blanc

Sac à gnôle, sac à gnôle et comme ça j'étais enfant Sac à vin, sac à vin, comme ça j'chuis maintenant

Sac à gnôle, Sac à vin à la tienne

Le roi de l'apéro, C'est tonton Fredo Qui joue du goulot Du goulot à grosse queue, pour tout dire, monsieur, Tonton est travelo Mais parlons pas d'pédale Sinon tata cristal Planquera son apéro Tata n'était pas ma tata, mais une tantouse

Sac à gnôle, sac à gnôle et comme ça j'étais enfant Sac à vin, sac à vin,comme ça j'suis maintenant

Sac à gnôle, Sac à …hé! Patron, une tournée ! tchin!

Si je vous parle de mon père Le soir toujours d'équerre Les yeux couleurs bourbon Maman dans l'même état Qui prend la queue d'papa Pour un tire bouchon Et y a mon p'tit frère Qui sirote d'la bière D'la totote de la frangine La main d'ma soeur, Ma soeur bat l'beurre Bourrée comme une cantine

Sac à gnôle, sac à gnôle et comme ça j'étais enfant Sac à vin, sac à vin,comme ça j'suis maintenant Sac à gnôle, Sac à vin Ecoutes bien ça mec

La morale d'cette histoire C'est d'savoir qu'avant d'boire, Ta famille tu l'as pas choisie Maman, tonton, tata, Grand-père, grand-mère, papa Et tous leurs putain d'amis Du plus p'tit au plus grand, Du plus riche au mendiant, On est tous picolos Vin rouge, vin blanc On l'a dans l'sang, On est alcoolos

Sac à gnôle, sac à gnôle et comme ça j'étais enfant Sac à vin, sac à vin, comme ça j'suis maintenant Sac à gnôle, sac à gnôle et comme ça j'étais enfant Sac à vin, sac à vin, comme ça j'serais tout l'temps Sac à gnôle.

Quand je bande

Quand je bande Ma pie touche mon ventre Quand je n’bande plus J’lai dans l’cul

Tien Cathy, voila cent sous Pompe-moi l’nœud, rend moi trois francs Oh non monsieur c’est bien trop peu Pour ce CRS au gros nœud Crénom de nom quel joli yeux Crénom d’un chien quels jolis seins Crénom d’un bordel comme elle est belle Crénom d’une putain comme elle est bien Mais…

Quand je bande

Quand je bande Ma pine touche mon ventre Quand je n’bande plus J’lai dans l'cul

Tiens Cathie voila 100 sous pompe-moi l'neud rend moi 3 francs Oh non monssieur c'est bien trop peu pour ce SRS au gros neud Cré-non de non quel jolis yeux Cré-non d'un chien quel jolis sein Non d'un bordel s'qu'elle belle Non d'une putain comme elle est bien Mais…

Quand je bande Ma pine touche mon ventre Quand je n’bande plus J’lai dans l'cul

De tous les animaux qui baisent Y a qu’l’homme qui soit balaise De tous les animaux qui pissent Y a qu’la femme qui file à chaude pisse De tous les animaux qui chient Y a qu’l’homme qui se l’essuie Et quand le papier est trop menu J’me care le doigt dans l’cul Mais…

Quand il bande Sa pine touche son ventre Quand il bande plus Il l’a dans l’cul

Quand il bande Sa pine touche son ventre Quand il bande plus

Zob Zob Zob

Le Duc de Bordeaux ressemble à son frère, Son frère à mon père et mon père à mon cul. Si bien que j'en conclus qu’le Duc de Bordeaux Ressemble à mon cul comme deux gouttes d’eau

oh oh ohoh ZOB ZOB ZOB

La p’tite Amélie m’avait promis Trois poils de son cul pour m'en faire un tapis, Les poils sont tombés, le tapis est foutu, La p’tite Amélie n’a plus de poils au cul

oh oh ohoh ZOB ZOB ZOB

Pine d'ours , couille d'éléphant , peau d'chacal et bonnes d'enfant

Si j'te foutais ma bite dans l'cul prendrais-tu mes couilles pour des mirabelles Si j'te foutais ma bite dans l'cul prendrais-tu mes couilles pour des bonnes d'enfant

Avec avec du poil sous les roses Tayo , tayo , tayooo Fermes ta gueule répondis l'echo

paroles/tulaviok.1236024896.txt.gz · Dernière modification : 2011/07/30 16:29 (modification externe)